Si internet a été inventé, c’est bien pour proposer des classements, tops et flops à la con. On cède à la facilité en invoquant 5 mauvaises raisons d’idolâtrer notre neuf sétois avant même son premier match à la maison.
1 – Un combo prénom+nom propice au jeux de mots. De quoi réjouir les fans taquins, les journalistes de l’Equipe et ceux de Libé. Quand il sera sélectionnée à l’Euro 2016, vous aurez droit au titre « Andy Capé ! »
2 – C’est un attaquant qui a joué en Angleterre. Quand t’es un supp’ caennais ça compte. Gravelaine avait joué à Watford. Andy est passé par Wigan. Ça pose son homme. Brian Stein Style.
3 – Pour sûr qu’il va en animer des débats et discussions sans fin le Andy. On parle pas de ses appels, de son jeu dos au but ou encore de son efficacité, mais de la seule et véritable question que tout le monde se pose : de lui ou de Titi Deroin, qui a les plus gros mollets ?
4 – Capilairement, Andy domine la L1. Dégradé parfait, balayage sauvage entretenu, barbe de 3 jours au laser. Rentrez chez vous les créteux gominés. Andy, c’est Johnny Depp dans Cry Baby. Si t’es cinéphile tu sais qu’on parle d’un film de John Waters. Si t’as plus de 35 ans tu sais surtout qu’on parle d’un film avec Traci Lords. Vous voyez pas le rapport ? Nous non plus…
5 – Andy alimente un compte Instagram. On y trouve pas de pensées à la Mollo mais y’a du selfie d’beau gosse en pose lascive et regard ténébreux. Conséquemment il s’ensuit donc qu’Andy est chou comme disait l’autre. Ça reste un atout pour la féminisation des stades. Les jeunes filles en fleurs et les Cougars y trouveront leur compte. Pour toutes les autres, il y a Nicolas Seube.