Ode au Rémy
Rémy seul en son but
A longtemps attendu
Qu’une vague l’acclame,
Qu’un océan l’emporte
Et c’est bien tout son drame
De n’avoir disparu.
Car son cadeau Rémy,
Rémy face aux lascifs
Contrôles-mines d’Andy,
C’est quand il en termine.
Il a bon dos Rémy,
Rémy face Aulas il
Fut comme un Lyon en cage,
Par Grégory coupé
Et Lloris Hugo l’un.
Oh comme il s’est battu!
A déposé les armes
Des arbitres, de ses ouailles,
Même de son président
Et pourtant titulaire
Trop peu de temps il fut.
Sa partition Rémy,
Savamment orchestrée
Par les vieux sages normands
Qui vinrent le chercher,
C’est au Stade Malherbe
Qu’il l’a joue désormais
Pour la vie, à jamais.
Quand Rémy à l’envers
Est au bout de la mire,
Ses sorties manquent d’air
Et son crédit expire.
Pourtant à bon endroit,
A d’Ornano s’entend,
Deux parades, c’est le roi!
Le temps d’une mi-temps.
Est écrite une strophe
Pour chacun de ses titres,
Puissent ses gants brandir
Un tout nouveau trophée
Que le club en vitrine
Rêverait d’exposer,
Pour que cette envolée,
Neuvième symphonie,
S’appelle Normandie.
Petit bonus offert par le club :