Bon bon bon, pas la peine de vous faire un point sportif, on est pas plus avancés que le mois dernier. Toujours en embuscade, le wagon Malherbe n’est pas décroché… mais pas raccroché non plus. Parce que ça veut dire encore beaucoup de journées de souffrance, pour les boys, et pour nous, donnons-nous du courage.
Quand la Caencaneuse veut se donner du courage, elle chante. C’est embêtant pour les voisins de wagon quand c’est en haut du grand 8, mais là, ça s’y prête. Le premier à se faire massacrer, c’est Maxime Leforestier, et la Maison Bleue, c’est le stade d’Ornano. Je vous laisse imaginer, et même chanter, si vous aussi ça vous fait du bien quand vous avez les chocottes.
C’est un stade rouge et bleu,
Adossé au vieux Venoix,
On y vient à pied, maillot sous le bras,
Ceux qui vivent là sont des réchauffés.
On se retrouve ensemble,
Après des années de doute,
Et l’on sera là, en haut ou en bas,
Tous avec Malherbe, ascenseur ou pas.
Quand D’Ornano s’enrhume
Quand D’Ornano s’allume
Michel d’Ornano, accrochez-vous…
Nicolas Seube, steuplé, épouse-moi !
SMC de gaillards,
Déboulés, roulades dans l’herbe
Des gros de ligue 1, on est la bête noire,
Contre les petits, on prend du retard.
On les retrouvera,
Pour regoûter à l’élite,
On y reviendra, dans un an ou deux,
Voire même un peu mieux : une question de mois.
Quand d’Ornano se lève
Quand d’Ornano se lève
Michel d’Ornano, accrochez-vous…
Nicolas Seube, steuplé, épouse-moi!
C’est un stade rouge et bleu,
Accroché à ma mémoire,
On y vient à pied, maillot sous le bras,
Ceux qui vivent là sont des réchauffés.
Peuplé de fiers Normands,
En Borrelli ou ailleurs,
Peuplé de vikings, peut être un peu fous,
Poussant vers la montée, bras dessus dessous.
Quand d’Ornano se lève
Quand d’Ornano se lève
Michel d’Ornano, emmène-nous !
Nicolas Seube, steuplé, épouse-moi !
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