Nom : Rodelin
Prénom : Ronny
Poste : Ailier pour remplacer Nangis qui doublait le poste avec Bazile vu que Raspentino est parti à Bastia, ou alors doublure de Delort, ou alors 2e attaquant avec Delort si on change de système, en concurrence avec Nkololo et puis Louis aussi vu qu’on sait pas où le mettre. Si le gars veut garder sa fiche de poste en mémoire sur le terrain, il lui faudra plus de tatouages que Bessat. Tiens, du coup, on a l’explication pour les tatouages de Bessat.
Slogan : Ronny soit qui mal y pense
Points forts :
– Meilleur joueur de Ligue 2 en novembre 2010, alors qu’il jouait à Nantes, et que donc c’était pas gagné d’avance. Il y met son premier but en pro, sans doute sur un cafouillage puisque c’est en tirant dans les pattes que marqua Ronny.
– Son autre fait d’armes à Nantes est sa participation à une bagarre générale lors de Nantes-Ajaccio en 2011. Pas fan de l’île de beauté, il en profite pour signer en beauté à Lille, alors champion de France. Il y joue sept rencontres de Ligue des Champions.
– Recruter un joueur ayant l’expérience de la C1, c’est quand même une bonne idée dans l’optique de nos futurs matchs contre le Real Madrid, qui seront relevés par le duel Pepe-Ronny.
Points faibles :
– Un joueur qui rame depuis son début de carrière, lequel n’était pas gai puisqu’il a commencé amateur dans l’aveyron et que ses dribbles chaloupés sont parfois loupés tout court.
– Après le Losc, le disparu : Rodelin est prêté au « Royal Mouscron Peruwelz » en janvier 2015. Déprimé, Ronny, saoul, boit.
Potentiel d’adulation
Tels des Normands montant à la capitale par l’A13, on a envie de voir Ronny sur scène. Méfiants tout d’abord, puisque Rodelin n’a marqué que 22 buts depuis 2007, dont la moitié en L2 ou National, les supporters normands guetteront l’étincelle promise par l’entrée en jeu de cette nouvelle recrue, dont on aimerait pouvoir dire « Quel sub, ce Ro-Ro » !